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 Le souvenir d’une certaine image, n’est que le regret d’un certain instant.

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Gabriel L. Moldovan
Gabriel L. Moldovan
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MessageSujet: Le souvenir d’une certaine image, n’est que le regret d’un certain instant.    Le souvenir d’une certaine image, n’est que le regret d’un certain instant.  EmptyMer 17 Aoû - 18:12

Il est confortablement assis dans son appartement, un livre en latin posé sur ses genoux. Seul ses yeux bougent, trahissant le peu d’activité que son corps exécute. Il lit les phrases où du moins il dévore les mots dans cette langue morte qu'il comprend, pour l'avoir longtemps pratiquée avec sa créatrice. Il aime le latin, c'est une langue très belle et aérienne à son goût. Il retrouve souvent l'empreinte de cette langue dans les langages d'aujourd'hui et il adore cela, il a l'impression de revenir plusieurs années en arrière. Pourtant l'envie de boire quelque chose de frais l'arrache de sa lecture. Un verre de sang ? Non il préférerait une bière où quelque chose comme ça. Ainsi il se lève de son fauteuil élégant qui abritait il y a encore une seconde, sa vieille carcasse de vampire épuisé. Il marche jusqu'à la cuisine et ouvre le frigo mais le néant l'accueille. Si bien-sûr quelques poches de sang frais comblent le vide du frigo mais sinon, il ne trouve qu'un vieux morceau de chocolat, un met qu'il adore grignoter lorsque l'envie de se prendre pour un humain est trop forte. Il soupire et referme le frigo avant d'aller dans l'entrée de son appartement prendre son porte-monnaies contenant son argent. Finalement il quitte son appartement et se décide à aller dans la petite épicerie de nuit non loin de là. Ce soir il est en repos, son bar peut tourner sans lui et il peut prendre son temps pour flâner dans les ruelles calmes. Il se met en route et arrive au bout de quelques minutes. Il prend un pack de bière et deux ou trois choses à grignoter au cas où Zaraki viendrait dans la semaine et voudrait manger un morceau. Du pain et du frais afin de remplir le pauvre frigo qui fait définitivement office de néant intersidéral. Il faut dire que lui, quelques verres de sang suffisent à le nourrir ainsi il n’achète jamais de quoi manger. Enfin il paye et repart chez lui, passant par le parc. Mais alors qu'il passe sous la lumière d'un lampadaire, tenant dans une poche en plastique ses achats, il entend plusieurs sons caractéristique d’un combat non loin de lui. Un instant il se dit que cela ne le dérange pas puis finalement il marche vers la source du bruit, tombant évidemment sur un combat comme il devait s'en douter. A l'odeur il reconnaît des vampires, deux ou trois et un autre parfum ainsi qu'un son de cœur qui bat. Gabriel a l'impression de connaître cette odeur mais il ne cherche pas plus loin avant de se mettre dans la mêlée et d'envoyer à quelques mètres, un vampire qui semblait prêt à attaquer une cible qu'il ne parvient pas à distinguer tout de suite. Dix secondes passent avant que le calme ne revienne et afin, il reprend sa poche qu'il avait laissé tomber au sol avant de se tourner vers la personne prise pour cible. « Vous avez eu de la chance ! » C'est là qu'il reconnaît Zooey, cette odeur, ce parfum qui enivre le parc et qui chatouille ses narines, évidemment ça ne pouvait être qu'elle. « Bonsoir vous ! Il semblerait que je sois arrivé au bon endroit au bon moment. »
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Gabriel L. Moldovan
Gabriel L. Moldovan
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MessageSujet: Re: Le souvenir d’une certaine image, n’est que le regret d’un certain instant.    Le souvenir d’une certaine image, n’est que le regret d’un certain instant.  EmptyMer 17 Aoû - 18:12

Elle devait se battre pour sa vie - bien qu'elle n'en ai cure en définitif après tout qu'est-ce qu'elle avait à perdre ? Alors rectifions, elle devait se battre pour l'humanité - bien qu'elle n'en ai rien à foutre parce que la majorité des gens étaient de parfaits abrutis à ses yeux. Elle devait se battre, sans doute, pour l'organisation secrète para-militaire (un truc du genre) à laquelle elle appartenait depuis aussi loin qu'elle s'en souvenait. Parce que ses parents en avaient fait partis. Son frère aussi. Et tous étaient morts. Elle avait juste eut la chance - haha - de survivre plus longtemps, et elle ne faisait que se demander combien de temps. Mais qu'importe, elle continuait de se battre, refusant de baisser les bras, parce qu'elle avait sa putain de fierté qui s'accrochait à son visage, et qu'elle ne pouvait pas simplement laisser un de ces monstres la terrasser. Elle était conne, parfois.
Un sortilège foudroyant sortie de ses doigts agiles, brûlant une partie du visage du vampire qui lui faisait face. Elle patrouillait - enfin à la base elle rentrait juste chez elle - et elle était à présent aux prises de trois démons sanguinaires qui voulaient la bouffer. Une chouette soirée. Jusqu'à ce qu'une ombre se déplace, et qu'elle puisse reprendre le dessus sur ses ennemis, les envoyant au tapis - dans la poussière - avant de se redresser, et d'épousseter son jean troué (il était neuf putain) et de faire face à son sauveur. « Vous avez eu de la chance ! » Elle n'aurait pas dit cela ainsi, mais la voix de Gabriel la fit perdre pied un instant et elle ne trouva pas le moyen de répondre aussi sévèrement qu'elle l'aurait voulu. Quel sorte d'abruti pouvait bien s'attaquer à des vampires de la sorte ?
Lui assurément.

Après tout il faisait aussi partie de cette putain d'organisation secrète. Un chasseur ? Etonnant, elle pensait tous les connaitre au moins de vue. Mais elle avait été sur la touche durant trois ans après tout. « Bonsoir vous ! Il semblerait que je sois arrivé au bon endroit au bon moment. » « L'homme qui tombe à pique ? » Demanda-t-elle en haussant un sourcil, croisant les bras sur son t-shirt où il restait des traces de poussières qui ne partiront que difficilement. « Tu t'accordes trop d'importance, je me débrouillais. » Mauvaise foi affligeante mais qui lui sied bien au teint, elle soupire et passe à côté de lui en lui faisant signe de la suivre hors du parc. Où il veut. « Ca t'prends souvent de zigouiller du démon après avoir fait tes courses ? J'te savais pas chasseur. C'est sexy, mais c'est casse couille un macho qui s'ignore. » Reproche, compliment, elle divague entre moquerie et frustration. Parce que putain elle a pas besoin d'un macho. « J'te propose de me raccompagner chez moi ? Parce que j'suis une putain de demoiselle en détresse ? » Mauvaise.
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Gabriel L. Moldovan
Gabriel L. Moldovan
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MessageSujet: Re: Le souvenir d’une certaine image, n’est que le regret d’un certain instant.    Le souvenir d’une certaine image, n’est que le regret d’un certain instant.  EmptyMer 17 Aoû - 18:13

Autrefois on lui aurait sans doute demandé de se mêler de ce qui le regarde et d'arrêter de se mettre dans les histoires qui ne le concernent pas. Oui mais Gabriel n'est pas comme ça, il entend un bruit étrange alors il accours, pour voir et surtout pour s'assurer que tout va bien, afin d'aider si le besoin se fait sentir. Il sait que dans une ville pareille il ne devrait pas faire cela, les créatures sont partout, elles traînent dans tous les coins de rues et il pourrait tomber sur une mauvaise surprise. Mais il ne peut pas seulement poursuivre son chemin et faire comme si rien n'était alors qu'il entend un bruit de bagarre. Il a des connaissances ici et il n'aimerait pas savoir qu'un être cher à son cœur est tombé sous les coups d'une créature quelconque. Ainsi il n'attend pas avant de s'approcher du bruit, jeter son sac et se mettre dans le combat pour envoyer un vampire loin de là, qui se relève et part en courant en comprenant que le combat est perdu d'avance. Il entend un cœur battre et comprend, au son et à l'odeur si vivante, qu'il n'est pas uniquement entouré d'immortel à cet instant. Il ne reconnaît pas tout de suite la personne, c'est uniquement lorsque les vampires partent et qu'il se retrouve face à Zooey, qu'il saisit toute l'ironie de la situation. Elle semble le suivre, il a l'impression que tous les chemins le ramène à elle en tout cas. « L'homme qui tombe à pique ? » « On peut dire ça. » Dit-il en souriant et en fourrant ses mains dans les poches de son blouson. Il est assez content d'être intervenu et d'avoir laissé sa curiosité parler finalement, surtout si c'est pour tomber sur elle. « Tu t'accordes trop d'importance, je me débrouillais. » « J'vois ça. » Il est sincère et il comprend que sa fierté de chasseuse, car après tout c'est ce qu'elle est, a été piquée à vif. Il grimace et baisse la tête, mal à l'aise car c'est la première fois qu'il vient à aide à un chasseur et il ne les pensait pas aussi sur d'eux. Elle lui fait signe de suivre, il prend sa poche et s'exécute aussitôt, sortant du parc où quelques créatures grouillent encore, il les sent, il pourrait les suivre à l'odeur. « Ca t'prends souvent de zigouiller du démon après avoir fait tes courses ? J'te savais pas chasseur. C'est sexy, mais c'est casse couille un macho qui s'ignore. » « Si j'avais su que c'était toi je ne t'aurais pas aidé. » Dit-il en haussant les épaules. « Je pensais que peut-être c'était une jeune fille où quelqu'un d'autre... Pas une chasseuse en tout cas. » Dit-il en remarquant qu'elle lui balance des piques, cela ne lui plaît pas. A savoir, il l'aurait laissée se débrouiller, vive le remerciement. « J'te propose de me raccompagner chez moi ? Parce que j'suis une putain de demoiselle en détresse ? » Il soupire et se tourne vers elle. « Laisse tomber. Désolé d'avoir dérangé ta petite chasse... Ca ne se reproduira plus ! » Il lui fait un sourire et, profondément vexé d'avoir été aussi remballé, se détourne d'elle pour rentrer chez lui. « La prochaine fois, apprend à dire merci ! » Lance Gabriel en l'air en reprenant sa route.
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Gabriel L. Moldovan
Gabriel L. Moldovan
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MessageSujet: Re: Le souvenir d’une certaine image, n’est que le regret d’un certain instant.    Le souvenir d’une certaine image, n’est que le regret d’un certain instant.  EmptyMer 17 Aoû - 18:13

Elle avait un caractère particulier - pour ne pas dire qu'il était merdique. En plus d'être particulièrement anti-sociale (la preuve en était de son nombre impressionnant d'amis n'est-ce pas), elle était capricieuse, lunatique, et prétention. Trois traits de caractère qui allaient souvent de paire, et la rendait chiante. Terriblement chiante. Alors que Gabriel était intervenu sans penser à mal - il pensait même à lui sauver la vie et n'importe qui aurait été redevable pour ce fait - elle lui en faisait le reproche en usant d'un ton acerbe et sarcastique. Elle ne cherche pas même à être un peu agréable ou aimable, ne lui prêtant pas le moindre sourires charmeurs ou bien une embrassade amicale. Rien, elle resta à plusieurs mètres de lui, son corps brûlant de colère et de frustration et l'attaquait avec tout l'irrespect dont elle était capable. Zooey était ainsi, et elle ne cherchait pas vraiment à changer pour arranger la face du monde.

Et bien entendu, parce qu'il était humain - ou tout du moins était-il un homme - avec de l'estime pour lui-même, il réagit avec autant de violence que Zooey en donnait pour l'attaquer injustement, la foudroyant d'un regard glacial qui aurait pu la faire gémir. D'anticipation. « Si j'avais su que c'était toi je ne t'aurais pas aidé. » Bam. elle mangea la remarque avec un haussement d'épaules, boudeuse - et totalement de mauvaise foi également - parce qu'elle se sentit vexée qu'il lui dise une chose pareille. Alors qu'elle le lui reprochait. Les heures d'entrainement, les sorties en boite, et les journées à travailler dans des restaurants commençaient à faire ressortir sa fatigue - et de fait son caractère de merde. Nous en revenons au point de départ. « Je pensais que peut-être c'était une jeune fille où quelqu'un d'autre... Pas une chasseuse en tout cas. » Elle déglutit, se tourna vers lui, et se rendit compte qu'elle était grillée. Elle se demanda s'il l'avait vu usée de son don pour mettre le feu à la veste d'un des vampires. Mais sans doute pas, sinon c'est le terme sorcière ou aberration de la nature qu'il aurait employé. Ou bien monstre - qu'importe, cela ne l'aurait pas touché. Pas autant que ses répliques cinglantes.

Abrutie jusqu'au bout elle continua de l'attaquer, marchant dans l'obscurité à ses côtés malgré tout. Mais il se détourna, prit ses sacs, et la laissa surprise pendant une seconde : « Laisse tomber. Désolé d'avoir dérangé ta petite chasse... Ca ne se reproduira plus ! » Reprenant ses affaires, il fait volte-face et entreprend alors de laisser seule la chasseuse qui sent quelque chose en elle s'éveiller. Un hurlement de frustration plus démentiel encore. « La prochaine fois, apprend à dire merci ! » « Attends ! » Pas qu'elle soit du genre à s'excuser, ou à dire merci comme pour assurer qu'elle a un peu de bon sens. Elle n'en a pas, définitivement. Elle frôle son bras quand il se retourne, mais il fait plusieurs pas avant qu'elle ne lance : « Tu veux pas me baiser ? » avec un naturel qui la fait frémir.

Parce que - putain - elle a envie de lui, et c'est de plus en plus dur d'y résister. Résister à l'envie de l'embrasser, de le toucher, de le laisser la toucher. Et la frustration, le combat, la fatigue, le parfum enivrant de Gabriel - tout cela se mélange pour ne laisser que l'impression qu'elle va se liquéfier sur place. « J'suis pas d'une compagnie agréable, j'ai des journées de merde en ce moment. Mais on est pas obligé de parler, après tout. Enfin, moi j'ai envie de te sauter. Dés la première rencontre, faut dire que tu es sacrément bien foutu. » Dit-elle avec son jemenfoutisme habituel, avant de prendre une clope dans sa poche qu'elle place entre ses lèvres, et l'enlève en se rappeler qu'elle essaie d'arrêter. Mais elle la garde, cette clope, sans savoir pourquoi. L'adrénaline dût au désir doit la rendre folle. « J'habite pas très loin. » termina-t-elle d'avouer, en reprenant son chemin, lui laissant le choix de la suivre, ou non.
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Gabriel L. Moldovan
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MessageSujet: Re: Le souvenir d’une certaine image, n’est que le regret d’un certain instant.    Le souvenir d’une certaine image, n’est que le regret d’un certain instant.  EmptyMer 17 Aoû - 18:13

Il se doute bien qu'il est en face d'une chieuse de première, il suffit de voir la façon dont elle lui répond, en l'envoyant promener comme il se doit. Gabriel n'est pas du genre à se vexer facilement, mais il n'aime pas la mauvaise foi, il n'aime pas que les gens refusent de remercier quelqu'un qui vient de rendre service. Ainsi au lieu de chercher le conflit, il prend ses affaires et se détourne pour rejoindre son appartement, baissant les armes en refusant de répondre à cette attaque, ce serait trop facile. Puis il ne veut pas terminer la soirée comme ça, elle a si bien commencée avec un peu de repos, il ne veut pas risquer de se prendre la tête avec Zooey. Il faut dire qu'il l'aime bien à cette jolie rousse, elle est volcanique et clairement canon, tout à fait son style. Mais avec une soirée comme celle là et surtout son besoin de l'envoyer balader, il ne cache pas que cela calme toutes ses ardeurs. Il n'est pas du genre à se laisser marcher sur les pieds, elle doit le comprendre alors qu'il lui répond calmement et qu'il lui fait passer le message comme quoi une aide de sa part ne se reproduira plus. La prochaine fois si il sait que c'est elle, il la laissera se débrouiller, évitant de la déranger lors d'une chasse qu'elle ne veut pas partager. Il reprend ses affaires et se décide à partir, rentrant chez lui en quelques pas car il ne vit vraiment pas loin. « Attends ! » Il s'arrête net et se retourne un peu pour la regarder, s'attendant à prendre dans les dents une autre remarque acerbe venant de la jeune femme. « Tu veux pas me baiser ? » Surpris une seconde, il reste incrédule et se demande si il a mal entendu. « Pardon ? » Lâche Gabriel comme simple mot, étranglant le reste de sa phrase alors que sa gorge devient sèche. Elle est sérieuse ? Son aplomb en deviendrait presque gênant. « J'suis pas d'une compagnie agréable, j'ai des journées de merde en ce moment. Mais on est pas obligé de parler, après tout. Enfin, moi j'ai envie de te sauter. Dés la première rencontre, faut dire que tu es sacrément bien foutu. » Il la regarde sortir une cigarette et la caler entre ses lèvres avant de s'approcher d'elle, un fin sourire naissant sur sa bouche. Il a définitivement bien entendu la proposition qu'elle vient de lui faire. « J'habite pas très loin. » Il lui prend la main et s'approche d'elle, faisant voler la cigarette qu'elle tient entre ses lèvres pour venir l'embrasser fougueusement. Une seconde, peut-être deux pendant lesquelles il lui dévore les lèvres avant de se reculer, gardant les yeux clos pour profiter des dernières sensations qu'elle lui procure. « Chez toi c'est encore trop loin. Viens ! » Dit-il en la guidant avec sa main, vers un immeuble juste devant le parc, là où il vit. Ils ont seulement une route à traverser et lorsque c'est fait, ils montent les escaliers qui séparent la ruelle de son petit nid douillé. Gabriel met quelques secondes à déverrouiller la porte de son appartement et, alors qu'il s'efface pour la laisser rentrer, il jette presque ses courses sur le meuble à l'entrée avant de refermer la porte d'entrée et de la verrouiller. Enfin seul, il se tourne vers elle avec un sourire charmeur. Une seconde avant de se sauter dessus.
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MessageSujet: Re: Le souvenir d’une certaine image, n’est que le regret d’un certain instant.    Le souvenir d’une certaine image, n’est que le regret d’un certain instant.  EmptyMer 17 Aoû - 18:14

« Pardon ? » Il est étonné presque autant qu'elle de son aplomb quand elle lui propose de manière naturel de venir la baiser. Malgré ce que l'on pourrait croire, si elle disait « merde » facilement lorsqu'on venait la faire chier, elle n'était pas non plus du genre à dire les mots « bite » « chatte » ou « baiser » avec facilité, peu désireuse de se donner l'image d'une fille qui se faisait sauter trop souvent. Ou trop facilement. Ou même les deux. Mais devant le regard ténébreuse, les lèvres charnues, et le corps musclé de Gabriel elle avait du mal à contenir ses hormones et son désir de l'embrasser et le faire sien directement contre un arbre, écartant les jambes de manière scandaleuse sans se soucier de qui pourrait bien les voir. Et qu'ils se rincent l'oeil s'ils sont curieux à ce point, qu'importe. Gabriel avait allumé en elle une flamme de désir incandescente, et il y avait bien longtemps qu'un mec ne l'avait pas mise dans cet état. Le premier peut être, et l'expérience charnelle qui s'en était suivi n'avait pas vraiment été à la hauteur de ses espérances. Quelque chose lui disait cependant qu'en ce qui concerait le mystérieux Gabriel elle ne pourrait pas être déçue.
Il semblait sûr de lui, ne rougissant pas quand on parlait de sexe, et il y répondait avec aplomb. Il avait la prestance d'un mec qui se savait doué au lit et qui n'avait pas besoin d'en faire des tonnes pour convaincre le monde. Après tout, si Zooey voulait voir l'étendu de ses talents elle n'avait qu'à y céder, n'est-ce pas ? Et ce soir, après avoir passé plusieurs jours à s'entrainer et à prendre des coups qui lui ont laissé des marques sur son corps, elle était d'humeur maussade. Et n'avait sauté personne, parce qu'à chaque fois qu'elle rencontrait un mec elle se surprenait à le comparer à Gabriel. Plusieurs jours d'abstinence, et de coups l'avaient frustré, et elle était devenue chiante.

Ce qui n'empêcha pas le bellâtre et venir violer sa bouche, faisant mourir sur les lèvres de Zooey un gémissement surprit. Elle s'abandonna rapidement, ouvrant les lèvres pour danser avec sa langue, et perdant le souffle - ainsi que sa clope qui s'écrasa au sol sans qu'elle n'y fasse attention. Qu'importe, il était en train de l'embrasser, elle fermait les yeux et ses bras se retrouvèrent à jouer avec le t-shirt de Gabriel pour le soulever et trouver le contact de sa peau froide. « Chez toi c'est encore trop loin. Viens ! » Elle le regarde, alors qu'il tourne le dos, prend sa main, lui fait traverser la rue, et la guide jusqu'à la porte de son appartement. Le tout en moins de deux minutes, ne laissant pas la jeune femme reprendre son souffle. Et pendant qu'il la fait entrer, jetant son sac de course, elle a viré son t-shirt, dévoilant son soutien-gorge, et a déboutonné son pantalon. Elle le regarde, il ferme la porte, se retourne, la dévisage. Elle lui fait un signe de doigt l'invitant à venir la prendre à nouveau contre lui et entoure son cou pour le coller à elle; ses jambes se prirent sur le canapé et elle tomba à la renverse en l'emportant avec lui. Ses gestes étaient désordonnés, ses baisers enflammés, et ses mains passaient sous le haut du bellâtre pour le lui ôter. « Putain j'ai chaud ! » s'exclame-t-elle alors que le froid de la beau de son vis-à-vis la fait frémir et l'enflamme plus encore. Elle l'attire, enroule ses bras autour de ses épaules, et l'embrasse à en perdre haleine, frôlant de ses hanches la preuve du désir qui s'éveille entre les jambes de son futur amant.
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MessageSujet: Re: Le souvenir d’une certaine image, n’est que le regret d’un certain instant.    Le souvenir d’une certaine image, n’est que le regret d’un certain instant.  EmptyMer 17 Aoû - 18:14

Il a appris avec le temps à profiter de ce qu'on veut bien lui donner. Toutes les petites choses, les petits trucs que la vie veut bien lui offrir et les instants que les gens qu'il rencontre, veulent bien partager avec lui. Mais il ne pensait pas que Zooey lui proposerait de se retrouver pour un instant ensemble. Certes elle semblait partante pour cela l'autre fois dans la salle de repos de la confrérie, mais il pensait que c'était plus de l'audace qu'une envie réelle de se retrouver dans le lit du vampire. Ce dernier est pourtant étonné lorsqu'il l'entend lui proposer de la baiser comme elle le dit, lui envoyant un frisson délicieux au passage tant cela l'excite. Jamais aucune femme qu'il n'a rencontré ne parlait comme ça, puis il faut dire qu'il n'a jamais été proche de ses conquêtes simplement car cela ne durait qu'une nuit. Depuis la mort d'Aaliyah il a toujours refusé de revoir une seconde fois les femmes et les hommes qui soumet pour une nuit, un instant. Terriblement secret, Gabriel ne laisse personne entrer chez lui aussi facilement. Après tout c'est le repère d'un vampire, c'est sa vie, son antre. Son coin personnel, il refuse d'en laisser l'accès à tout le monde. Pourtant lorsqu’il comprend qu'elle est sérieuse il met une seconde à prendre sa main et à la guider chez lui, montant dans son appartement aussi vite que possible, il verrouille la porte lorsqu'il c'est assuré qu'elle l'a suivie. Et lorsqu'il se retourne, il remarque qu'elle a ôtée son tee-shirt et qu'elle commence à faire de même avec son jean. Il vient se serrer contre elle, gémissant d'envie lorsqu'elle presse ses seins contre son torse. Il la soulèverait presque pour la guider sur le canapé mais elle est plus rapide. Ils se touchent, s'embrassent, s'embrasent même avant de tomber sur le canapé, lui au dessus d'elle, reprenant ses esprits une seconde avant de se pencher vers elle et de l'embrasser plus doucement, profitant du goût sucré de ses lèvres. « Putain j'ai chaud ! » Dit-elle alors qu'il quitte sa bouche pour embrasser son ventre. Puis il s'arrête, ne bouge plus, il est pétrifié l'espace d'un instant. « Tu es chaude... » Dit-il doucement en se rendant compte qu'il sent la chaleur, pour la première fois depuis 3000 ans. Mais ce n'est pas la chaleur d'un feu, c'est bel et bien le brasier d'une peau humaine vivante et bien chaude. Il le sent sur ses mains, il se met à sourire, émerveillé par ce contact. Il pourrait rester des heures à seulement la frôler, juste pour sentir encore et encore cette sensation qu'il avait presque oublié. Mais il la sait, il la sent impatiente. Elle sent l'envie et le sexe, il comprend qu'il ne peut pas faire durer alors il vient d'une main lui ôter son soutien-gorge pendant qu'elle fait passer au dessus de sa tête, son tee-shirt. Dévoilant un immense tatouage qui lui barre entièrement le dos, représentant un ange mais aussi celui qu'il a au bras droit, le tableau de la Cène, le dernier repas du Christ. « Pas ici. » Dit-il en venant l'attraper par les hanches, la soulevant pour l'emmener jusqu'à sa chambre. Il la dépose sur le lit doucement et commence à ouvrir son jean avant de venir au dessus d'elle. Il reprend son chemin de baisers sur son ventre avant que sa bouche ne vienne titiller la pointe de ses seins, savourant la sensation de cette eau chaude contre sa langue. Il se sent vivant.
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Gabriel L. Moldovan
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MessageSujet: Re: Le souvenir d’une certaine image, n’est que le regret d’un certain instant.    Le souvenir d’une certaine image, n’est que le regret d’un certain instant.  EmptyMer 17 Aoû - 18:14

Elle avait la tête qui tournait, alors qu'elle n'arrivait plus à penser avec cohérence, et qu'elle embrassait Gabriel avec ferveur. Elle avait envie de le sentir partout autour d'elle, en elle, sur elle. Elle avait le désir d'être sienne, de le laisser la posséder de toutes les façons qui soit. Elle voulait être dépravée ce soir, et qu'importe ce qu'il pourrait bien penser d'elle. Elle ne voulait plus jouer la comédie de la jeune femme qui se respecte, alors que les baisers de Gabriel la retournaient littéralement. Elle avait l'impression de prendre feu sous son regard, et sous ses caresses, et elle ne voulait pas que cela s'arrêter. « Tu es chaude... » Lui souffla-t-il alors qu'il venait picorer la peau de son cou, et que les doigts de la jeune femme trouvait les tétons pour les taquiner durement. Elle voulait l'entendre gémir, le faire trembler, et le rendre si dur qu'il la supplierait de la prendre sur le champ. Elle avait envie d'être joueuse, d'être passionnée, et d'être violente s'il le fallait.

Il vient lui ôter son soutien-gorge, dévoilant sa poitrine gonflée par l'excitation, et ses tétons qui frottent contre la poitrine froide de l'homme. Elle a constamment cette impression que l'autre est froid, ce n'est pas nouveau, mais lui semblait l'être plus que la moyenne contre sa peau brûlante. Elle ouvre les yeux, un instant, pour découvrir quelques tatouages qui parsèment le corps de son futur amant, et elle sourit. Un croyant - putain - un catholique qui assume des oeuvres d'art sur sa peau pour l'éternité. L'idée la fait sourire alors qu'il la redresse, et qu'elle vient l'embrasser, se collant à lui en passant ses jambes autour de sa taille. Il la soulève sans effort. « Pas ici. » Il la fait parcourir l'appartement pour l'amener dans une chambre - sans doute - alors qu'elle glisse sa langue sur sa mâchoire, descend sur son cou, et vient sucer sa peau fragile, avant de remonter vers son oreille et de suçoter son lobe de chaire dans l'espoir de le rendre fou. Il n'était pas des plus bruyants, et elle en était frustrée, cherchant ce qui pouvait le rendre fou.

Il revient sur elle, après avoir détaché son jean, et joue avec sa poitrine, arrachant quelques plaintes de la part de la jeune femme. Elle garde malgré tout ses jambes autour de ses hanches, bougeant les siennes pour créer une friction délicieuse. Et d'un geste soudain et calculait elle les fait se retourner, prenant le dessus. Elle vient embrasser sa poitrine, trouve son pantalon, et le fait descendre le long des jambes de son amant. Avant de venir caresser son sexe gorgé de sang à travers le dernier tissu qu'il portait. Se mordant la lèvre inférieur, elle relève les yeux vers lui et lui offre un sourire moqueur. Avant de le mettre à nu, complètement. Et une fois debout, lui mit à nu, elle fait de même avec elle. Ôtant son jean et sa culotte trempée qu'elle lance sur le lit, comme un jeu. « Tu vois que tu me mets dans tous mes états... » Dit-elle avant de ramper sur lui, et de venir l'embrasser à nouveau, sa main descendant le long de son torse avant de venir taquiner sa chaire tendue.
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Gabriel L. Moldovan
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MessageSujet: Re: Le souvenir d’une certaine image, n’est que le regret d’un certain instant.    Le souvenir d’une certaine image, n’est que le regret d’un certain instant.  EmptyMer 17 Aoû - 18:36

Le souvenir d’une certaine image, n’est que le regret d’un certain instant.
Il a envie d'elle, terriblement et pour la première fois depuis que sa créatrice est morte, il pourrait se consumer tant le désir qui vrille ses hanches est violent. Si elle l'arrêtait à cet instant il pourrait piquer une colère terriblement violente. Il la veut, il veut se fondre en elle et la voir s'accrocher à lui à cause de toutes les sensations qu'il lui fera ressentir, il veut voir son regard se voiler et sa raison se perdre alors qu'il bougera contre elle et se collera à son corps, tel un noyé s'attachant à sa dernière bouée de sauvetage. Pourtant dans un éclair de lucidité il parvient à la guider jusqu'à sa chambre, refusant de lui offrir une première fois dans ses bras sur ce canapé. Terriblement impersonnel, il trouve son lit bien plus confortable pour ce qui doit être fait. Ainsi ils s’étendent sur son grand lit, lui au dessus d'elle, incapable d'arrêter ses baisers alors qu'il la découvre à mesure que ses vêtements volent dans la pièce. Dans un geste aérien, elle prend le dessus alors qu'il la laisse faire, restant allongé et souriant sous la vision parfaite qu'elle lui offre. Seins nues, sa peau semble scintiller alors qu'elle se penche pour cajoler son torse. Gabriel a une maîtrise de lui même incroyable mais alors qu'elle bouge ses hanches, frôlant son membre qui est délaissé, il ferme les yeux et pousse un râle en se mordant la lèvre, luttant contre l'envie de l'allonger et de la prendre ici, maintenant, tout de suite. Elle termine de le déshabiller avant d'en faire de même avec son jean et sa culotte trempe, qu'elle jette sur le lit alors qu'il se met à rire. « Tu vois que tu me mets dans tous mes états... » « Laisse moi vérifier... » Dit-il dans un murmure lorsqu'elle revient prés de lui. Doucement il glisse sa main droite entre ses cuisses et se tend, alors qu'elle imprime sur son membre une caresse délicieuse. L'immortel en fait de même, ses doigts viennent jouer sur le sexe trempe et luisant de la belle, massant ce petit point sensible et délicat. « Tu es vraiment bouillante... » Dit-il alors que son index glisse en elle et qu'il bouge doucement, frôlant cette boule de nerf qui peut rendre une femme folle de désir. Puis, ayant envie de plus, il la fait se rallonger sur le lit et vient l'embrasser avant de glisser le long de son corps, se plaçant entre ses cuisses. Un dernier regard amusé et plein d'envie avant que sa langue ne plonge en elle, sur elle pour la goûter, la découvrir, apprendre ce qu'elle aime.
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Zooey-Lee Nightmare
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MessageSujet: Re: Le souvenir d’une certaine image, n’est que le regret d’un certain instant.    Le souvenir d’une certaine image, n’est que le regret d’un certain instant.  EmptySam 20 Aoû - 22:08

bang bang
 - zobriel
Nue; complètement, elle s'offre à la vision de cet amant découvert, trouvé, enivré, qui la dévore du regard sans aucun complexe et qui la brûle sans même s'en rendre compte. Elle pourrait presque rougir du regard qu'il lui semble, et a le sentiment qu'aucun homme encore ne lui avait fait cet effet. Elle avait l'impression qu'il pouvait s'imprimait en elle juste en la regardant, la faire jouir juste parce qu'il posait les yeux sur elle, et qu'il se délectait de la voir. Elle se cambre, mets sa poitrine en valeur comme pour lui hurler « montre moi que je t'excite encore plus » et sourit victorieuse. Parce qu'elle sent contre sa cuisse qu'il est plus dur encore - si cela est possible. Elle sourit, gémit, se couche sur lui, et vient trouver son sexe tendu et fort.  « Laisse moi vérifier... » Répondit-il quand elle lui dit qu'il l'excite, et elle passe une jambe entre celles de son amant pour les entremêler, et lui permettre de venir glisser son doigt épais d'homme vers son sexe délicat. Et trempé. Terriblement trempé - et quand est-ce qu'un homme l'avait fait mouiller aussi vite ? Sans doute n'était-ce jamais arrivé. En général elle leur demande de la caresser, de lécher ses tétons pour les faire durcir, ou les suce en espérant que cet acte l'excite assez pour aller plus loin. Et s'ils ne lui jouissent pas dans la gueule alors elle se laisse prendre au jeu. Mais - putain - jamais encore un simple regarde n'a fait réagir son sexe comme cela.
Et elle adore, gémissant quand il vient jouer sur son clito, l'empoignant plus fort en réponse et accélérant les allers et venus sur sa verge frémissante. putain jouis pas maintenant...

Comme en réponse à ses prières il la retourne, la contraignant à lâcher prise, et vient glisser entre ses cuisses. « Tu es vraiment bouillante... » Elle voudrait répondre un truc intelligent - mais quand sa bouche vient gouter son sexe elle ne répond plus de rien; grogne un truc incompréhensible genre merci zeoauepz et s'étend en arrière, le dos arqué par le plaisir. « Putain j'vais en jouir, ta langue est aussi divine que lorsque tu m'embrasses... » Lance-t-elle, parce que le plaisir qui lui monte à la tête délie sa langue et la rend presque poète. Ou pas. Elle se redresse soudainement, le pousse sans faire attention et prend son sexe qu'elle vient engloutir dans sa bouche en gémissement de bien être; le mouillant de sa salive, avant de se redresser, et de cracher sur la peau rougit de plaisir, le caressant de sa main pour le préparer à venir en elle. « Dis moi que tu veux me baiser. Parles moi durement... Tu m'excites trop putain, je voudrais que tu me baises jusqu'à ce que j'en hurle de douleur. » Avoue-t-elle, le regard voilé par le plaisir, une main toujours sur le pénis désiré, l'autre glissant sur sa propre chatte qu'elle caresse, impunément. Sans jamais quitter Gabriel du regard.
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Gabriel L. Moldovan
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MessageSujet: Re: Le souvenir d’une certaine image, n’est que le regret d’un certain instant.    Le souvenir d’une certaine image, n’est que le regret d’un certain instant.  EmptyDim 21 Aoû - 18:13

Le souvenir d’une certaine image, n’est que le regret d’un certain instant.
Désir incroyable, frisson qui coule en lui comme de la lave, ravageant toute pensée cohérente et toute retenue. Il se lâche dans ses bras, laisse parler ses envies et ses besoins, complètement grisé par cette femme qui belle qui semble n'attendre que lui et toute l'attention qu'il peut lui apporter. Elle se soumet à ses caresses et il adore ça, refusant pour le moment de céder alors qu'elle imprime sur son membre, un geste si sensuel et délicieux qu'il pourrait se laisser faire jusqu'à venir grâce à elle. Mais Gabriel n'est pas un amant égoïste et cela elle le comprend alors qu'il s'agenouille entre ses cuisses et lui offre une attention toute particulière à l'aide de sa langue. La remarque qu'elle lui fait le fait sourire et le rend fier alors qu'il s'affaire plus encore, la faisant râler avec un plaisir proche de la folie. Puis elle le repousse si vite qu'il n'a pas le temps de réagir, il retombe sur le lit, nu et offert alors qu'elle vient elle aussi cajoler son érection vibrante. Aussitôt il glisse sa main dans la chevelure courte de feu de la belle, imprimant un geste lent et agréable par quelques pressions sur son crane. Il se laisse aller à quelques râles de plaisir alors qu'il sent cette langue mutine passer encore et encore sur son gland rosé à cause de l'envie. Elle arrête ses caresses et intérieurement il la remercie de mettre fin à ce calvaire, délicieux certes mais qui ne l'aurait ps fait durer encore longtemps. Il relève les yeux et la regarde un instant pendant qu'elle le caresse, le souriant avant de revenir vers elle et de l'embrasser, dévorant sa bouche dans un baiser enflammé. « Dis moi que tu veux me baiser. Parles moi durement... Tu m'excites trop putain, je voudrais que tu me baises jusqu'à ce que j'en hurle de douleur. » Il se retient de pousser un râle d'envie lorsqu'elle lui parle ainsi, des idées salaces envahissent son esprit alors qu'il baisse les yeux et remarque qu'elle se caresse en même temps. « Tu cherches vraiment à me rendre fou... » Dit-il en venant saisir la main avec laquelle elle se caresse avant de porter ses doigts à sa bouche, récoltant sur sa langue la preuve de son désir. Puis il reprend le dessus et la force presque à se mettre à 4 pattes, lui offrant une vue parfaite alors qu'il vient se positionner derrière elle. Ses mains se posent sur les hanches de son amante avant qu'il ne la force à remonter vers lui, plaquant son torse contre le dos de la belle. Là, il peut murmurer à son oreille tout en venant frotter son érection aux fesses bien fermes de la belle. « Je vais te baiser si fort que tu me supplieras d'arrêter... » Dit-il avant de mordiller le lobe de son oreille, glissant ses lèvres jusque dans son cou et sa nuque, partout où il peut sentir la moindre goutte de sang battre sous sa peau. Puis sans prévenir, il la repousse pour qu'elle retombe sur ses bras, l'attrape et entre en elle sans aucune douceur, l'envahissant de toute la longueur de son membre sans lui laisser le temps de réagir. Il se met à bouger, la pilonnant sans plus de cérémonie en la tenant par les hanches. Puis d'un coup il s'arrête en lâchant un petit rire, ne bouge plus et commence à se retirer doucement. « Supplie moi de te prendre... » Murmure Gabriel avant de revenir en elle, claquant contre son bassin lorsque la réponse qu'elle lui donne le satisfait.
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MessageSujet: Re: Le souvenir d’une certaine image, n’est que le regret d’un certain instant.    Le souvenir d’une certaine image, n’est que le regret d’un certain instant.  EmptyDim 21 Aoû - 19:01

bang bang  - zobriel
Joueuse, terriblement excitée, elle touchait son corps avec une faim de loup- de louve- le dévorant des yeux autant qu'elle l'envahit de sa bouche, essayant de posséder chaque portion de cette peau blafarde. Elle lui semblait froide, mettant cela sur le compte de sa propre chaleur corporelle. Mais quand même - il était dur, terriblement dur, et pas uniquement son pénis érigé vers elle qui frémissait sous ses coups de langues. Son corps entier était tendu, sans doute dans l'excitation de ce qu'il allait advenir, ou alors parce qu'il se tordait de plaisir quand elle le léchait comme une affamée. Elle avait presque envie de le sentir envahir sa gorge, et de gouter à sa semence amer avant de l'embrasser à nouveau, et de tenter de le faire bander plus fort pour pouvoir se faire prendre.
Mais c'était une femme impatiente, et alors qu'elle se caressait, et le prenait en bouche, il lui offrit un regard qui la fit frissonner de haut en bas. « Tu cherches vraiment à me rendre fou... » Très certainement, autant qu'elle devenait folle à l'idée de le sentir s'enfoncer en elle, au vue de la taille de la chose, et de sa dureté extrême. Elle savait qu'elle prendrait son pied, il ne pourrait pas en être autrement. Il allait la remplir comme jamais aucun homme ne l'avait fait auparavant, et elle hurlerait sans doute d'être ainsi déchirée, écartée, rendue folle.
Et il reprend le dessus, la tourne, la soumet, elle se laisse faire, gémit et se tortille. Elle lui offre la vision de ses fesses rondes et blanches, les gesticulant devant lui dans une invitation tentatrice. Il la soulève, elle sent son érection contre ses fesses, et s'attend à tout instant à ce qu'il fasse autre chose. L'idée de la dérange pas - bien au contraire - l'envie reste perfide, présente, et elle pourrait presque lui demander de la sodomiser sans plus attendre. Elle ne le fit pas, parce qu'il l'embrassait, caresser son corps, lécher son cou, et que les mots se perdirent dans sa gorge offerte. « Je vais te baiser si fort que tu me supplieras d'arrêter... » « Jamais. » Lâche-t-elle dans l'expectative, encore indocile, avant qu'il ne la fasse basculer, la saisisse. Et la remplisse si fort, et si bien qu'elle lâche un hurlement de douleur et de surprise mêler. Il est terriblement dur, imposant, et froid. Elle le sent jusqu'au plus profond d'elle-même, et elle voudrait qu'il parte. Revienne. Plus fort. Qu'il tape dans son corps pour la faire fondre, hurler, s'époumoner. Ce qu'il ne tarde pas à faire, et elle bouge en rythme, rencontrant ses coups de reins en claquant sur ses fesses, et gémissant à chaque fois plus fort encore. Elle perdait le sens de la réalité, tenant à peine sur ses mains posées sur le matelas, déchirant les draps de ses ongles tant le plaisir montait rapidement en elle sans pour autant pouvoir exploser.
Trop de plaisir. Trop rapidement.

Il s'arrêta. Elle en hurlerait de rage. Elle grogna comme un animal à la place. Se tourna vers lui avec un regard flamboyant. Putain de merde, qu'est-ce qu'il branlait ? « Supplie moi de te prendre... » Elle grimace, montre les dents, et se met sur les coudes pour que l'accès à son sexe soit plus ouvert, plus facile, plus érotique encore. Elle écarte un peu plus les jambes, se tortille, comme pour lui rappeler qu'il avait quelque chose à faire, et vient contre lui pour que son sexe brûlant vienne frotter sur sa verge. « Baise moi, salopard, et t'arrête pas putain. » Lâche-t-elle quand la pression est trop forte, et il vient alors se saisir de ses hanches, ses doigts s'enfonçant durement dans la chaire de la sorcière, alors qu'il tape plus puissamment encore.

Et l'échange dure des minutes entières, avant qu'elle ne réclame plus d'attention, qu'elle hurle « plus fort » sans pouvoir s'arrêter. Complètement posséder. Elle sent que ca monte, finalement, en une foudroyante jouissance qui la saisit soudainement, hurlant le nom de Gabriel de manière incohérente, et le sentant bien en elle. Elle se redresse, passe une main derrière lui, pour le tenir contre son dos, et inspire difficilement. Elle cherche son air, lui fait signe de ne pas bouger. Elle aime le savoir en elle. Avant de finalement ôter le pénis encore dur toute seule, le pousser à s'allonger, et lui tourner le dos. Lui offrant une vision bien plus agréable ainsi - il pourra voir la verge disparaitre entre les lèvres trempées, et elle pourra mener la danse. Ce qu'elle ne tarde pas à faire, laissant le sexe se faire engloutir, et commençant à bouger doucement, puis dans un rythme de plus en plus effréné. Reprenant un concert de grognements et de gémissements.

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Gabriel L. Moldovan
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MessageSujet: Re: Le souvenir d’une certaine image, n’est que le regret d’un certain instant.    Le souvenir d’une certaine image, n’est que le regret d’un certain instant.  EmptyDim 21 Aoû - 20:12

Le souvenir d’une certaine image, n’est que le regret d’un certain instant.
Elle respire la sensualité et le sexe à chacun de ses gestes, semblant rendre fou Gabriel dés qu'il pose ses yeux sur elle. Il est fou, complètement, se sentant déjà fondre devant le regard brûlant de cette femme. Elle est bouillante, chaque morceau de sa peau semble être en feu, il a l'impression de ressentir les rayons du soleil brûler sa peau là où il n'a pas sentir la chaleur de l'astre brûlant depuis trois milles ans. Une éternité, si bien qu'il est incapable de s'éloigner de Zooey tant c'est agréable de sentir cette chaleur caresser sa peau. Il se colle à elle dés qu'il le peut, la faisant se relever pour la toucher et l'embrasser, savourant de sentir son dos se frotter à son torse. Il joue avec son membre, la faisant languir alors qu'il se frotte à ses fesses sans attendre, râlant d'un trop plein d'envie. Le besoin d'elle, de la sentir, de la prendre ici et maintenant, chose qu'il fait après un certain temps. Il bouge en elle, tapant sans aucune douceur, simplement guidé par ses râles et ses hurlements. Il lui a fait mal, il l'a compris lorsqu'elle a lâchée un hurlement de douleur et de surprise, mais il ne pouvait pas attendre et puis cela a rapidement été remplacé par du plaisir. Il se voit, il se ressent à chaque mouvement qu'il fait en elle. Il entend son cœur battre plus vite, cela ne fait que l'exciter plus fort encore. Il s'arrête pourtant et joue une dernière fois avec elle, avant de venir aussi car il ne pourra plus se retenir. « Baise moi, salopard, et t'arrête pas putain. » Et il lui accorde ce qu'elle veut, venant en elle dans un râle rauque, guttural et animal. Il agit ainsi pendant un long moment, obéissant lorsqu'elle le supplie d'aller plus vite, plus fort, parfois les deux en même temps, jusqu'à la guider vers la jouissance qui vient entre eux comme une délivrance. Il vient en elle, lâchant des sons de plus en plus fort à mesure qu'il se laisse aller puis, lorsqu'elle se relève et l'attraper contre elle, il lâche ses hanches et glisse ses mains autour de la taille de son amante. Il la tient fermement, embrassant ses épaules et sa nuque, le temps de reprendre son souffle et de se remettre de cette jouissance. Au bout d'un certain temps elle le repousse et le fait s'allonger. Il quitte l'antre chaude dans laquelle il se sentait bien, marquant cela d'une petite grimace. Elle est si chaude, il pourrait rester contre elle sans jamais se lasser. Il comprend qu'elle position elle veut et cela le fait sourire, enchanté de la voir prendre les commandes, puis la vue qu'elle lui offrira sera parfaite. Enfin elle revient au dessus de lui, il en profite pour glisser ses mains dans son dos et caresser sa peau, doucement, sensuellement. « Insatiable... » Murmure l'immortel avec un petit rire, bientôt étouffé dans un gémissement lorsqu'elle glisse son membre en elle. Pendant un instant il reste là, grisé par la vision de son érection disparaissant dans le sexe trempe et brûlant de son amante puis, au bout de quelques minutes, il porte son index à sa bouche et le suce pour l'humidifier. Enfin lorsqu'il pense que c'est assez, il glisse son doigt sur elle, entre ses fesses plus précisément pour venir titiller cette zone si fragile, tout autant brûlante que le reste de son corps.

Il caresse simplement, pour lui apporter plus d'excitation qu'elle n'en a déjà, voulant lui donner une jouissance qui pourrait la laisser pantelante pendant un long moment. Puis il ferme les yeux et laisse sa tête tomber en arrière, de sa main gauche il la tient par la hanche, gémissant de plus en plus fort à mesure que l'orgasme monte en lui. Une minute, deux peut-être il ne le sait pas, le temps semble ne plus exister, il se concentre uniquement sur elle et sur son cœur qui tape plus fort dans sa poitrine. Il finit par venir en elle pour la seconde fois, bougeant comme il le peut pour frapper plus fort contre ses hanches. Une jouissance, un orgasme énorme déferle en lui et le pousse à pousser un crie rauque alors que de sa main gauche, il plante ses doigts dans sa peau, se maîtrisant à peine pour ne pas la blesser. Nul doute ne revanche que demain elle aura des marques. Enfin il retombe entre les coussins, vidé de toute énergie et de toute envie de bouger. Il lui fait signe de venir aussi contre lui, faisant une place contre son torse en ouvrant son bras. « Reste là pour la nuit... J'ai envie de profiter de ta chaleur... » Murmure Gabriel avec un petit sourire en passant un bras sous sa tête pour la maintenir. Il la regarde, elle est belle avec ses joues rosées sous le plaisir, ses lèvres sont gonflées à force de les avoir mordillées. Elle ressemble terriblement à Aaliyah, cette vision le fait détourner le regard une seconde.
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MessageSujet: Re: Le souvenir d’une certaine image, n’est que le regret d’un certain instant.    Le souvenir d’une certaine image, n’est que le regret d’un certain instant.  EmptyDim 21 Aoû - 21:33

bang bang  - zobriel
Elle aimait le sexe, et ne s'en cachait pas. Elle aimait le sexe avec des inconnus, pour une nuit, pour un instant, pour un moment dégueulasse dans les chiottes d'une boite de nuit. Elle aimait le sexe avec des femmes, parfois, avec des hommes souvent. Tout type de mecs, parfois clairement inquiétant et pervers, mais elle s'en foutait. Après tout elle ne voulait que du sexe, et elle savait que sous l'effet de l'alcool il lui arriverait d'oublier la répugnance pour ne garder que l'impression d'avoir été satisfaite. Même de manière passager. Un moment, avant que l'envie ne revienne plus violemment encore qu'avant. Elle était perverse, elle le savait. Elle essayait de se convaincre qu'elle n'était pas une fille facile, parce qu'elle aimait parfois jouer avec ses partenaires, et les faire languir. Elle ne les amenait jamais chez elle, et elle ne restait pas dormir. Des règles d'or en passant.
Mais putain le sexe, le bon sexe, celui qui la faisait jouir comme ça la rendait totalement folle, et serait capable de lui faire faire n'importe quoi. Du reste, c'était rare qu'elle se fasse languir aussi longtemps, et elle savourait chaque moment de cette étreinte. C'était fou, c'était violent, c'était sauvage, et elle avait la tête qui tournait, totalement pris dans une brume de délectation sensuelle. Il était beaucoup trop doué pour le bien être de la jeune femme. Pour sa raison. Et elle en perdait les pédales, sans même faire cas de ce qu'il voulait, prenant parce qu'elle ne voulait plus, elle. « Insatiable... » Il murmurait, et elle grognait en réponse, reprenant le pénis en elle sans aucune douceur. Et l'idée qu'il la regardait se faire baiser par son sexe tendu la rendait folle. L'idée de l'exciter était terriblement fantasmagorique. Et depuis quand n'était-elle plus aussi égoiste ? Elle ne le savait pas, mais elle s'en fichait. Et lorsqu'un doigt humide vient titiller son anus elle perdit toute pensée, se contentant d'aller plus vite sur la verge, et de se tordre comme un animal. L'instant était divin, et elle voulait lui dire « va y là aussi, vas y baise moi comme tu veux » - mais elle ne le faisait pas parce que les mots restaient coincés dans sa gorge. Parce qu'elle n'arrivait pas à s'arrêter sur une pensée cohérente.

Elle s'agitait plus encore, sentant le doigt qui jouait, et la verge qui se tendait. Elle voulait le sentir, sans prendre cas qu'ils ne se protégeaient pas, et qu'elle était folle. Qu'elle aimait le sentir en elle de la sorte, si direct. Si froid, si dur, si chaud, si violent. Si animal. Elle se consumait littéralement, et elle ne pouvait pas vouloir que ca s'arrête. Mais bientôt elle suffoquait, son coeur battait trop vite, et le plaisir la saisit encore avec une telle violence qu'elle ne put contenir son hurlement, et sa gorge vrilla de douleur. Elle toussait quand l'orgasme redescendit. Essoufflée, elle cherchait à reprendre pied, mais n'arriva qu'à ôter sa jambe de sur son amant, et libéra son sexe à présent mou. Elle s'assit près de lui, et l'observa. Putain, il était beau.
Il croisa son regard, ouvrit ses bras, et elle eut envie de s'y plonger. Putain qu'est-ce qu'il te prend ? Elle grimaça. « Reste là pour la nuit... J'ai envie de profiter de ta chaleur... » Règle numéro une : ne jamais dormir chez un amant passager. Elle se mordit la lèvre inférieure, et lui quitta son regard pour le baisser. Le silence s'installa, avant que finalement elle ne se couche contre lui. « J'crève la dalle. Tu avais pas apporté un sac de courses ? Tu as un truc à manger ? » Dit-elle avec un sourire dans la voix; avant de se lever, un bras sur son torse, le visage proche du sien. « J'toujours faim après avoir baisé, pas toi ? » Demanda-t-elle avec son putain de tact. Et il lui semblait que quelque chose lui échappait. Là, étendue contre son amant, elle se sentait bien. Certes. Mais quelque chose dans son esprit lui hurlait attention et elle ne comprenait pas pourquoi. Pas encore.
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Gabriel L. Moldovan
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MessageSujet: Re: Le souvenir d’une certaine image, n’est que le regret d’un certain instant.    Le souvenir d’une certaine image, n’est que le regret d’un certain instant.  EmptyDim 21 Aoû - 21:55

Le souvenir d’une certaine image, n’est que le regret d’un certain instant.
Des années, des siècles que Gabriel ne c'est pas laissé aller dans les bras d'une femme, réellement du moins. Il a toujours eu une certaine retenue, une façon de se défiler lorsque venait le moment de s'endormir et de se reposer avec son amante d'une nuit dans les bras. Il a toujours refusé le moindre signe de douceur et d'attention, bannissant cela car dans son esprit, seul sa créatrice méritait ce genre d'attention. Amants et amantes d'une nuit, sauvage et passionnée sous le regard du beau Gabriel, enfin il se laisse aller alors que quelque chose lui dit que Zooey n'est pas comme les autres, que quelque chose est différent en elle et que cela mérite qu'il s'y attarde. Il a envie de s'arrêter sur elle, si bien que lorsqu’ils retombent après cette jouissance assommante, il lui propose de rester dormir. Le silence se fait, il sourit d'entendre sa voix devenue rauque à force d'avoir trop hurlée. Elle est belle, si bien faite, terriblement attirante et rebelle, tout ce qu'il aime et le fait vibrer. Mais c'était une fois, un désir passager à assouvir pour pouvoir dormir calmement et passer à autre chose. Il sait que si il n'avait pas succombé, l'envie aurait été trop forte mais dés demain, ils vont pouvoir repartir à leur petit vie tranquille. Il sait aussi que Zooey ne pouvait pas résister, on ne résiste pas à un vampire, on subit sa beauté et sa perfection sans rien pouvoir faire ni dire. C'est ainsi, l'avantage où le fardeau de son statut. Elle vient contre lui, il referme son bras doucement avec un plaisir évident, souriant de la sentir si proche. Moment câlin après le sexe, voici ce qui lui a manqué depuis tant de temps. D'habitude il se relève et se rhabille, quittant l'appartement si il n'est pas chez lui où invitant son amante à se barrer comme il le dit avec son tact légendaire. « J'crève la dalle. Tu avais pas apporté un sac de courses ? Tu as un truc à manger ? » Elle pose son bras sur son torse et se rapproche, un instant il reste troublé par cette proximité mais ne dit rien. Il a l'impression d'être en couple, image furtive d'un autre temps où il tenait dans ses bras un être cher. « Et elle ose exiger après les jouissances que je lui ai accordée ! » Dit-il avec un petit rire, amusé de la voir si franche, comme si rien ne pouvait la retenir.

« J'toujours faim après avoir baisé, pas toi ? »
Il penche la tête à droite et semble reflechir un instant. Si il lui dit qu'il a tendance à boire du sang après avoir baisé, la chose serait mal prise. Puis ce serait faux, il peut manger mais cela ne lui fait rien. Il peut seulement apprecier la nourriture. « Disons que je ne dis jamais non à quelques viennoiseries. » Dit-il avec un petit sourire avant de déposer un rapide baiser sur ses lèvres. Il se lève et part dans l'entrée, offrant aux yeux de Zooey la vision de son corps complètement nu, sans imperfection, reste du temps qui n'affectera jamais sa peau ni ses membres. Seul témoin du temps qui passe, les tatouages qui ornent la peau de son dos, de son bras et de sa cuisse gauche. Il arrive dans l'entrée et prend la poche dans sa main avant de faire un saut par la cuisine. Il emporte aussi une bouteille de coca, deux verres, des couverts et une poche contenant des croissants Français qu'il trouve dans une boutique typiquement française, au nord de la ville. Il revient auprès de Zooey et s'installe sur le lit, à côté d'elle. « Fais toi plaisir ! » Dit-il en vidant la poche devant elle, déposant du chocolat, du jambon, , du pain, du pâté et des sandwichs sur la couverture. Lui il prend un croissant, un morceau de chocolat et croque vivement dedans, bien trop gourmand malgré le fait que la nourriture ne lui serve à rien. « Ca te prend souvent de sauter sur les beaux mecs que tu croises ? » Il sourit et lui tend un croissant avec une mine innocente. « Pas que je me plaigne... Au contraire... »
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MessageSujet: Re: Le souvenir d’une certaine image, n’est que le regret d’un certain instant.    Le souvenir d’une certaine image, n’est que le regret d’un certain instant.  EmptyVen 26 Aoû - 23:36

bang bang  - zobriel
« Et elle ose exiger après les jouissances que je lui ai accordée ! » « C'est qu'il râlerait en plus. Tu m'as voulu, assumes. » Lâche-t-elle sur le même ton désinvolte, levant les yeux au ciel, avant de se laisser tomber près de lui, laissant la place au bellâtre de se lever pour aller la nourrir. Elle avait faim, son ventre réclamant de quoi se nourrir sans quoi elle ne pourrait pas s'endormir. Elle le savait, elle fonctionnait aussi. Et il n'était pas dit qu'elle ne se réveillerait pas au milieu de la nuit avec une envie de sexe dévorante. Avant d'avoir faim à nouveau. Son corps ne réclamait que ces deux choses pour être entièrement satisfait. Et après une partie aussi torride elle ne pouvait pas simplement se refuser un encas. Il ne pourrait pas le lui refuser non plus, de toute façon elle sera chiante tant qu'elle n'aura rien. Et il l'avait invitée à dormir contre lui, alors il devra se débrouiller pour la satisfaire sur ce point-là aussi. Et ca ne la dérangeait pas tant que cela, bien que cette attitude donnait l'impression qu'une habitude se glissait dans leurs mots et leurs gestes. Une habitude de couple, qu'ils ne possédaient pas. Parce que c'était la passion d'une nuit n'est-ce pas ? Non. Elle en voudrait encore, clairement. Elle n'était pas satisfaite, ni lassée. Elle en voudrait encore, putain, et elle ose espérer qu'il l'acceptait. Rien de sérieux. Pas d'amour, juste du sexe. Du putain de sexe de folie.
Mais elle n'en parle pas encore, attendant, son ventre rappelant sa présence de manière bruyante et pas très séduisante. Mais elle s'en fout. « Disons que je ne dis jamais non à quelques viennoiseries. » Fort bien. Souriante, elle le regarde rejeter les draps, et partir complètement nu dans le couloir. Il a plusieurs tatouages, qu'elle nota rapidement, avant de s'arrêter sur son cul d'enfer. Elle soupire, s'allonge, et ferme les yeux au instant. Ca sent le sexe, et quelque chose d'autre. Quelque chose de sauvage, d'animal. Pas vraiment la sueur des corps, pas vraiment les semences des sexes. C'est quelque chose d'autres, et elle ne saurait pas dire quoi. Mais ca l'attire, ca l'apaise, ca lui donne envie de plus. Elle est devenue folle.

Quand il revient elle somnole à peine, le nez plongé dans le coussin sur lequel il dormait. Elle se redresse soudainement. « Fais toi plaisir ! » « Plaisir hein ? » Lâche-t-elle en laissant son regard caresser le corps jusqu'au sexe de son amant. Mais elle lâche un rire, et regarde plutôt tout ce qu'il lui a apporté. Prendre le jambon, l'ouvre, prendre une tranche qu'elle découpe de manière aléatoire, et en mange un morceau. Prend le fromage, fait pareil. Et Dieu que c'est bon de manger. Elle n'a pas d'élégance, elle s'en fout. « Ca c'est trop bon. De la nourriture, nus, après du sexe torride. » Affirme-t-elle en prenant un autre morceau de fromage entre ses dents, le mangeant goulument.

Il mange aussi, plus discrètement, et elle sent son regard sur elle, qui la fait frissonner. « Ca te prend souvent de sauter sur les beaux mecs que tu croises ? » S'arrêtant dans son geste, elle se tourne vers lui, sourcil froncé. Est-ce que ca l'inquiétait de la savoir fille facile ? De la savoir capable de lui sauter dessus parce qu'elle le croise et qu'elle en a envie ? Elle sait pas trop quoi répondre pour le faire chier, ou pour le caresser dans le sens du poils. Elle reste sceptique. « Pas que je me plaigne... Au contraire... » « Tu aurais pas de raison de t'en plaindre, en effet. » Dit-elle avec un putain d'air fier sur le visage, avant de prendre une canette de coca, de l'ouvrir, et boire une longue gorgée. Elle avait soif, aussi. Ce qui n'avait rien d'étonnant. Et mal à la gorge, du coup sa voix est basse et roque. « Non. Ca m'arrive que quand j'ai le feu, et que le mec me cherche et me fait les yeux doux. Fais pas genre, tu en avais envie aussi, n'est-ce pas ? Sinon tu ne m'aurais pas amené chez toi si rapidement. J'ai pas eut à te convaincre. » Dit-elle avec un air suffisant, l'air de dire - j'suis pas la seule salope dans cette putain de pièce. Elle sourit, mange encore, s'arrête plus vraiment, et regarde autour d'elle, ne trouvant rien de vraiment personnel dans cet appartement. « C'cool chez toi. Le lit est spacieux, c'est bien. Ca manque de photos, de ... J'sais pas. T'as l'air de vivre dans un catalogue IKEA. » Dit-elle, commentaires peut sympathiques, mais qu'est-ce qu'on en a à foutre ? « Tu as combien de tatouages ? »  demanda-t-elle finalement en reportant son attention sur lui.
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